En janvier dernier
des terroristes lâches et fanatiques se sont attaqués à la liberté d’expression
en assassinant l’équipe de Charlie.
Vendredi soir, à Paris, plus de 120 personnes ont été
exécutées par quelques individus rendus fous par un endoctrinement assassin.
On savait bien, en
notre for intérieur, qu’un jour ou l’autre un attentat viendrait à nouveau frapper
notre pays, trop isolé dans la lutte contre Daech, en l’absence de motivation
suffisante des autres pays européens, mais on ne pensait pas à un tel carnage.
Ceux qui ont
perpétré ces actes de négation de la vie humaine, dont certainement des
Français, sont pire que des bêtes. Car les animaux tuent pour se défendre ou
pour nourrir. Ces fous ont tué parce que endoctrinés, fanatisés. On leur a vidé
le cerveau et, tels des robots, ils utilisent des armes trop facilement
trouvées sur le marché, pour semer la mort en tuant les innocents autour d’eux.
Il faut absolument
que des mesures soient prises pour contrer les endoctrineurs, où qu’ils soient,
mais il faut pour cela une réelle coopération entre tous les pays, en mettant à
l’index ceux qui ne coopèrent pas, même si ce n’est pas très diplomatique.
Les terroristes
eux-mêmes, il faut à tout prix éviter de les tuer, comme il faut veiller à ce
qu’ils ne se fassent pas exploser vivants, car pour eux le sacrifice de leur
vie est la clé de l’entrée dans leur paradis.
Ils ne sont plus
des êtres humains, ni même des animaux qui luttent pour leur survie, ils ne
sont plus que des machines qui ne méritent que d’être capturées et enfermées
nues dans des cages.
Notre gouvernement
de gauche, que certains ont mis en cause de façon de façon outrancière, n’a
peut-être pas pris toutes les mesures qu’il aurait fallu depuis quelques mois,
croyant encore trop aux valeurs traditionnelles de la gauche, mais il ne
démérite pas. D’anciens gouvernants, qui n’ont pas non plus en leur temps fait
ce qu’il aurait fallu, et des personnes aspirant aux plus hautes fonctions qui,
pour l’heur, ne sont que donneurs de leçon, devraient faire preuve de davantage
d’humilité et de cohésion.
Notre gouvernement
de gauche devra nécessairement réviser ses politiques et surtout enterrer
certaines de ses illusions, comme nous-mêmes devrons admettre des restrictions
de nos libertés et accepter des contraintes de contrôles et autres
surveillances accrues.
N’oublions pas
que, à cette heure, 129 innocents sont morts, que nombre d’autres souffrent
encore, que des familles sont endeuillées, que des amis sont partis, et que ce
n’est pas fini…
Soyons solidaires,
soyons unis, soyons forts.
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