Aujourd’hui
on ne peut écrire sur rien d’autre que la lâche tuerie opérée par des sauvages
au siège du journal Charlie Hebdo. Des innocents sont morts. Anonymes ou
connus, à l’instar de Charb, Cabu, Wolinski et Tignous dont on ne verra plus de
nouveaux dessins, et de Bernard Maris dont j’appréciais les commentaires et son
talent de débatteur sur France Inter le vendredi matin.
Cet ignoble
attentat ne peut trouver le moindre début de justification dans les prises de
position du journal, garant de la liberté de la presse qui, heureusement,
existe dans notre pays.
Ces semeurs
de terreur doivent être arrêtés et jugés. On ne peut pas accepter que des
fanatiques utilisent des armes et des méthodes de guerre contre des civils désarmés
qui n’ont rien demandé et qui, en l’occurrence, étaient des gens plutôt
pacifistes et épris de liberté.
Il faut que
notre Etat, par le biais de ses autorités, de sa police, de sa justice, prouve
au monde entier qu’il ne se laissera pas écraser par le fanatisme et la folie.
Et qu’un
grand hommage soit rendu à tous ceux qu’on nous a arrachés en ce funeste 7
janvier 2015 au 10 de la rue Nicolas Appert à Paris.
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