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mardi 16 octobre 2018

Ces politiques qui…



Il y a quelques années était publié un livre intitulé « Ces malades qui nous gouvernent » de Pierre ACCOCE et Pierre RENTCHNICK. Ils pourraient, aujourd’hui, nous gratifier d’un autre ouvrage qu’ils pourraient intituler « Ces politiques qui se sabordent », « Ces psychopathes qui nous gouvernent ou veulent le faire », etc…. De multiples titres sont possibles, en fonction des personnalités politiques qui seraient décryptées dans leur ouvrage.


Je ne parle même pas des dictateurs et prédateurs à la tête de quelques pays d’Afrique ou de la péninsule arabique. J’évoquerais rapidement les dirigeants vénézuélien, turc, chinois ou russe, ou américain…. Je pense là uniquement aux Français. A deux en particulier qui, fort heureusement, n’ont pas encore eu en main les clés du pouvoir.

Si  Marine LE PEN et Jean Luc MELENCHON ont parfois une analyse tout-à-fait exacte de la situation de notre pays, en particulier au regard de certaines problématiques, ils ne dévoilent malheureusement pas les meilleures solutions pour y remédier. Soit, c’est le cas le plus fréquent, car ils n’en ont pas, soit, et cela arrive trop souvent, ils préfèrent avancer des mesures simplistes, provocatrices et irréalistes uniquement dans le but de se mettre en avant et de mettre des bâtons dans les roues des dirigeants en place. Une autre de leur caractéristique commune est leur mauvaise foi patente, leur propension à mentir, soit par omission, soit sciemment, leur arrogance de petit roquet.

Un autre de leur point commun a été mis à jour il y a quelque temps par la dirigeante du Rassemblement National il y a quelque temps, par le chef des Insoumis hier, c’est leur comportement, assimilable sinon à un suicide politique, du mois à un réel naufrage : le comportement de la première lors du débat avec Emmanuel MACRON entre les deux tours de la dernière élection présidentielle et, celui, totalement aberrant, du second, à l’occasion de la perquisition de ses locaux hier. Il a eu là  un comportement scandaleux et indigne. Qu’il ne se soit pas réjoui de ces perquisitions, soit, personne ne le serait. Qu’il soit fâché et en colère, pourquoi pas, mais lorsqu’on veut être un dirigeant digne de ce nom, on garde au minimum son calme et on reste correct !
Il veut se faire passer pour un martyr, mais son comportement excessif le dessert totalement.
Ses soutiens les plus convaincus le défendront, certes, mais la frange de ses soutiens « par défaut », va, en partie le quitter, soit parce que ces personnes ont vu quel personnage il était vraiment, soit parce qu’il leur aura fait peur.
Comme certains électeurs de Marine LE PEN ont vu, à l’époque, qu’elle n’était pas du tout capable d’exercer les fonctions auxquelles elle prétendait.