Vingtième
jour de confinement, dimanche, même si pour beaucoup les jours de la
semaine sont tous semblables maintenant, temps estival. Le temps
paraît long désormais, on a envie de revoir ses parents, ses
enfants, ses amis ; on a envie de bouger...D’autant plus,
lueur d’espoir, que la propagation du virus semble ne plus être
aussi virulente.
Alors
on baisse un peu la garde, on s’autorise un petit écart.
Pourtant,
il ne faut pas. Si nous sommes sur la bonne voie, nous n’avons pas
encore gagné. Et on sait que, dans toutes les guerres, il y a des
victimes jusqu’à la dernière minute des combats, et même encore
après.
Alors
certes, l’économie a énormément souffert et tout le monde
souhaite que ça reparte, sinon à quoi vont ressembler les vacances
d’été si on n’a pas, d’ici là, retrouvé une vie à peu près
normale ?
Alors,
si nous voulons vraiment revivre à 100 % le plus tôt possible,
il faut encore faire quelques sacrifices, jusqu’au 15 avril, voire
début mai, pour qu’effectivement, avec le moins de risques
possibles, on puisse reprendre le chemin de l’école, du travail,
ou reprendre nos activités normales en toute confiance et sans peur
du lendemain.
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