S’il
est une institution qui souffle un peu, oubliée qu’elle est par
ses détracteurs, c’est bien Enédis car son compteur Linky,
habituellement traité de liberticide, n’occupe plus le devant
de la scène.
De ce fait, nombre de personnes, déjà s’inquiètent de l’atteinte aux libertés publiques, du non-respect du secret médical, du fichage et autres gros mots.
Et ces bataillons de défenseurs des libertés ne vont cesser de se renforcer.
Le Français, moi y compris, chérit la liberté.
Mais jusqu’à quel point doit-on sacrifier à la liberté ?
Une chose est de proclamer : « mieux vaut être libre et mort que vivant et opprimé », une autre de rejeter une mesure qui peut être de santé publique au motif qu’elle risque, éventuellement, avec beaucoup de malchance, de nous priver d’une miette de liberté.
Et ceux qui crient au liberticide sont-ils conscients que dès qu’ils touchent un smartphone ou un ordinateur ils sont pistés ? Que l’utilisation de leur carte bancaire, de leur voiture...laisse des traces ? Que les réseaux sociaux, et pour des motifs bien moins avouables, restreignent davantage leurs libertés que ces fichiers ?
Qu’ils y réfléchissent un peu !
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