Après une élection laborieuse, la bulgare Irina BOKOVA a été élue au poste de secrétaire générale de l’UNESCO, alors que le candidat favori de cette élection était le ministre égyptien de la culture Farouk HOSNI.
De par ses prises de position, ce dernier ne pouvait être un « bon » secrétaire général. Indépendamment du travail qu’il aurait pu faire à la tête de l’organisation, son élection aurait été trop néfaste à l’Unesco.
Madame BOKOVA, ambassadrice de la Bulgarie en France, à Monaco et à l’Unesco présente un profil bien plus consensuel pour être élue.
Il est à souhaiter qu’elle prenne sa nouvelle charge à cœur. Vu son âge (57 ans) et son dynamisme reconnu, on peut espérer qu’elle saura redonner à l’UNESCO le relief qui lui manque depuis quelques années.
Parmi ses prédécesseurs à ce poste, on se souvient des noms de Amadou-Mahtar M’BOW (1974-1987), Fédérico MAYOR (1987-1999), mais moins de ceux de René MAHEU (1961-1974) ou Koichiro MATSUURA (1999-2009).
Bonne chance, Madame BOKOVA !
De par ses prises de position, ce dernier ne pouvait être un « bon » secrétaire général. Indépendamment du travail qu’il aurait pu faire à la tête de l’organisation, son élection aurait été trop néfaste à l’Unesco.
Madame BOKOVA, ambassadrice de la Bulgarie en France, à Monaco et à l’Unesco présente un profil bien plus consensuel pour être élue.
Il est à souhaiter qu’elle prenne sa nouvelle charge à cœur. Vu son âge (57 ans) et son dynamisme reconnu, on peut espérer qu’elle saura redonner à l’UNESCO le relief qui lui manque depuis quelques années.
Parmi ses prédécesseurs à ce poste, on se souvient des noms de Amadou-Mahtar M’BOW (1974-1987), Fédérico MAYOR (1987-1999), mais moins de ceux de René MAHEU (1961-1974) ou Koichiro MATSUURA (1999-2009).
Bonne chance, Madame BOKOVA !
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