Ce
matin, sur la chaîne France Info est apparue la ministre déléguée
chargée de l’industrie, Madame Agnès PANNIER-RUNACHER qui a bien
évidemment été interrogée sur les vaccins, entre autres celui de
la société AstraZeneca.
Elle
a eu l’intelligence de prononcer ces mots (citation non
exacte, mais le sens y est): Que les commentateurs arrêtent de
commenter et nous laissent un peu écouter les spécialistes,
Et
elle a totalement raison.
Le
vaccin Astrazeneca a des effets secondaires. Il est même possible
que dans des cas très infimes, ces effets aient causé la mort,
directement ou indirectement, de quelques personnes.
C’est
bien évidemment dramatique pour les proches de ces défunts, mais il
faut voir en face le nombre de personnes auxquelles
ce
vaccin a justement évité
la mort.
Les
autres vaccins également ont des effets secondaires.
Par
ailleurs ces décès sont le prix à payer pour le
progrès et la connaissance.
Le
principe de précaution appliqué à l’extrême, comme nous le
faisons depuis quelque temps est un réel frein au progrès et à
l’évolution.
Si,
parce que des personnes ont perdu la vie lors des conceptions et des
essais des voitures, trains, avions, etc, si
toute
recherche et tout essai avaient
été interdits,
nous ne déplacerions encore qu’à pied !
Ces
« journalistes », « commentateurs » ou autres
« éditorialistes » qui aujourd’hui ne cessent de
brandir tels des épouvantails quelques vies perdues ne manqueraient
pas, si les vaccinations étaient interrompues, de le déplorer dans
quelques semaines.
Pourquoi
ne s’acharnent-ils pas autant sur les additifs qu’on trouve dans
certains aliments, sur
les difficiles conditions de travail de nombre de personnes qui
s’usent la santé pour des salaires de misère, sur les addictions,
sur la misère des jeunes, etc.
Enfin,
je précise que j’ai été vacciné avec AstraZenaca il y a un peu
plus d’un mois, sans aucun effet secondaire. J’attends ma seconde
injection, fin mai, et j’espère que ce sera avec AstraZeneca.