Il y a
quelques années était publié un livre intitulé « Ces malades qui nous
gouvernent » de Pierre ACCOCE et Pierre RENTCHNICK. Ils pourraient,
aujourd’hui, nous gratifier d’un autre ouvrage qu’ils pourraient intituler « Ces
politiques qui se sabordent », « Ces psychopathes qui nous gouvernent
ou veulent le faire », etc…. De multiples titres sont possibles, en
fonction des personnalités politiques qui seraient décryptées dans leur
ouvrage.
Je ne parle
même pas des dictateurs et prédateurs à la tête de quelques pays d’Afrique ou
de la péninsule arabique. J’évoquerais rapidement les dirigeants vénézuélien,
turc, chinois ou russe, ou américain…. Je pense là uniquement aux Français. A
deux en particulier qui, fort heureusement, n’ont pas encore eu en main les
clés du pouvoir.
Si Marine LE PEN et Jean Luc MELENCHON ont
parfois une analyse tout-à-fait exacte de la situation de notre pays, en
particulier au regard de certaines problématiques, ils ne dévoilent
malheureusement pas les meilleures solutions pour y remédier. Soit, c’est le
cas le plus fréquent, car ils n’en ont pas, soit, et cela arrive trop souvent,
ils préfèrent avancer des mesures simplistes, provocatrices et irréalistes
uniquement dans le but de se mettre en avant et de mettre des bâtons dans les
roues des dirigeants en place. Une autre de leur caractéristique commune est
leur mauvaise foi patente, leur propension à mentir, soit par omission, soit
sciemment, leur arrogance de petit roquet.
Un autre de
leur point commun a été mis à jour il y a quelque temps par la dirigeante du
Rassemblement National il y a quelque temps, par le chef des Insoumis hier, c’est
leur comportement, assimilable sinon à un suicide politique, du mois à un réel
naufrage : le comportement de la première lors du débat avec Emmanuel MACRON
entre les deux tours de la dernière élection présidentielle et, celui,
totalement aberrant, du second, à l’occasion de la perquisition de ses locaux
hier. Il a eu là un comportement
scandaleux et indigne. Qu’il ne se soit pas réjoui de ces perquisitions, soit,
personne ne le serait. Qu’il soit fâché et en colère, pourquoi pas, mais lorsqu’on
veut être un dirigeant digne de ce nom, on garde au minimum son calme et on
reste correct !
Il veut se
faire passer pour un martyr, mais son comportement excessif le dessert
totalement.
Ses soutiens
les plus convaincus le défendront, certes, mais la frange de ses soutiens « par
défaut », va, en partie le quitter, soit parce que ces personnes ont vu
quel personnage il était vraiment, soit parce qu’il leur aura fait peur.
Comme
certains électeurs de Marine LE PEN ont vu, à l’époque, qu’elle n’était pas du
tout capable d’exercer les fonctions auxquelles elle prétendait.
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