Manuel
VALLS, sentant que son avenir politique en France n’était plus et,
probablement, ne serait plus à la hauteur de ses attentes, s’est retourné vers
ses racines et a décidé de se présenter aux élections municipales à Barcelone.
Logiquement,
et bien qu’un doute ait subsisté jusqu’au dernier moment, il a décidé de
démissionner de tous ses mandats électifs en France.
Il percevra,
ce qui est normal, sa pension de retraite d’ancien élu au Parlement français et
d’ancien membre du gouvernement.
Par contre,
il devrait renoncer aux avantages « en nature » dont il bénéficie en
tant qu’ancien Premier ministre : voiture, chauffeur, protection
policière, etc… Car il est totalement anormal que le contribuable français supporte
encore ces charges alors que Manuel VALLS a décidé de quitter le territoire
français.
C’est d’ailleurs
une nouvelle occasion de revoir totalement ces avantages indus.
Pour le président de la République et le Premier ministre, une protection policière, une voiture et un chauffeur, éventuellement un bureau et un secrétariat léger pourraient être accordés, mais pour une durée maximale de cinq ans. Rien ne justifie une durée plus longue. Que sur décision du ministre de l’Intérieur, en cas de nécessité, la protection policière soit accordée au-delà de ce laps de temps, soit, mais c’est tout.
Pour le président de la République et le Premier ministre, une protection policière, une voiture et un chauffeur, éventuellement un bureau et un secrétariat léger pourraient être accordés, mais pour une durée maximale de cinq ans. Rien ne justifie une durée plus longue. Que sur décision du ministre de l’Intérieur, en cas de nécessité, la protection policière soit accordée au-delà de ce laps de temps, soit, mais c’est tout.
Ces
avantages avaient été accordés en d’autres temps, et ni la population
concernée, ni la situation politique et économique du pays, ni la durée
potentielle de ces avantages, et , par conséquent, leur coût n’ont plus aucune
commune mesure depuis.
Les
modalités de la retraite ont été revus pour tous les Français sur la base de
ces changements. Il n’y a donc aucune raison que ces avantages ne le soient
pas.