J’ai perdu mon pari, DDV se lance dans la campagne présidentielle.
Mettant en avant sa filiation gaulliste, il se place délibérément au-dessus des partis, dans la lignée du beau et grand discours qu’il fît lorsque la France ne suivit pas les Etats-Unis dans la guerre contre l’Irak, en 2003.
Mais cet idéalisme ne l’aidera pas sur le chemin qu’il s’est tracé, et il reste trop éloigné du peuple pour avoir des chances d’être suivi par un nombre important d’électeurs.
Ira-t-il jusqu’au premier tour d’ailleurs, ou renoncera-t-il avant, par choix, ou contraint par les circonstances ?
L’avenir nous le dira.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire