L’islam, à l’instar de la religion chrétienne, est une religion monothéiste qui porte en elle les valeurs de partage, de solidarité, de fraternité.
Pourtant, il nous met mal à l’aise sur de nombreux points.
C’est en fait plutôt la façon dont il est vécu par certains de ses pratiquants qui nous choque, et à juste raison.
Ainsi de la burqa ou voile intégral, pratique d’ailleurs interdite en France par la loi, mais on a pu voir récemment que les contrôles par les forces de l’ordre sont délicats et sont souvent suivis de manifestations intolérables et parfois violentes.
Qui n’a pas déjà croisé une femme musulmane dont on ne pouvait deviner que les yeux, le reste du corps étant entièrement caché, sans éprouver un sentiment de malaise ? Ces femmes, même si elles ont accepté (mais avaient-elles le choix ?) cette coercition, ne peuvent pas vivre normalement ; et que dire de leurs enfants qui ne les voient que soumises ? Il y a par ailleurs de réels problèmes de sécurité, car n’importe qui, homme ou femme, peut ainsi se soustraire à tout regard, caché sous ces vêtements de la honte.
Les islamistes qui prônent ces tenues ne servent pas leur religion et son image.
Jadis, les catholiques ne mangeaient pas de viande le vendredi, qui était jour du poisson. Cette coutume n’est plus guère suivie, de même que les règles en matière de jeûne au moment du carême.
Il en va différemment lors du ramadan, dont les règles sont bien plus complètes, restrictives et strictes, et qui est encore bien respecté.
Là encore, il est prévu que le jeûne ne doit jamais nuire à la santé du pratiquant. Ainsi, les femmes enceintes, jeunes et vieillards, ainsi que toute personne, si les conditions l’exigent, peut enfreindre les règles du ramadan afin de préserver sa santé. Mais combien n’osent le faire par peur de représailles ?
Je côtoie tous les jours de pauvres gamins, qui errent entre midi et quatorze heures, par cette chaleur caniculaire, et qui ne mangent ni ne boivent…
Ceux qui obligent leurs coreligionnaires à jeûner coûte que coûte ne servent pas leur religion.
Ceux qui appellent au meurtre, à la vengeance, contre les Israéliens, les Américains, les Occidentaux en général, ne servent pas leur religion.
Ceux au contraire qui prônent la fraternité, qui discutent avec leurs voisins, même s’ils n’ont pas les mêmes croyances, qui expliquent leur religion, qui respectent les femmes et les enfants, ceux-là servent leur religion, contribuent à la dédiaboliser et servent l’Humanité.
Depuis ma fenêtre, je regarde ce qui se passe autour de moi, tout près ou très loin, et je réagis à ces faits et gestes ou événements.
ANNONCE
mercredi 24 juillet 2013
mercredi 17 juillet 2013
« La Nation reconnaissante », un concept du passé ?
Irrémédiablement, tous les ans, le rapport entre les actifs cotisants et les retraités vieillissants se dégrade d’un point de vue financier, et il faut, régulièrement, trouver de nouvelles parades afin de payer ces retraites.
Actuellement, donc, se déroulent des réflexions et discussions à ce sujet. Les uns et les autres, n’ayant pas les mêmes intérêts ni la même conception des choses, qu’ils soient actifs ou retraités, qu’ils soient syndicalistes ou patrons, économistes ou politiques, etc.. n’ont donc pas des points de vue ni des solutions identiques.
Certains veulent repousser l’âge de la retraite, d’autres allonger la durée de cotisation, deux voies distinctes qui, au final, rejoignent deux points d’arrivée pas si éloignés l’un de l’autre.
Les augmentations de cotisation, salariales et/ou patronales ont été évoquées aussi.
Les régimes spéciaux, le régime des fonctionnaires font l’objet d’âpres batailles mais là ceux qui en bénéficient ne veulent concéder le moindre petit pas vers un alignement sur les autres régimes, et ceux qui n’en bénéficient pas se refusent à comprendre le pourquoi de la différence et, éventuellement, à la compenser.
Ces jours-ci on parle beaucoup de la majoration de pension de 10 % pour les retraités qui ont élevé au moins trois enfants. Cette majoration, il faut la considérer comme étant un remerciement de la Nation pour les familles qui lui ont donné au moins trois enfants et ont donc contribué à sa permanence et à son rayonnement. Supprimer cette majoration serait un acte qui manquerait totalement de justice et de solidarité. D’autant plus que, à l’heure actuelle, nombre de jeunes retraités sont obligés, par les circonstances, d’aider leurs enfants, voire même de les héberger encore ! Que cette majoration soit soumise à l’impôt, oui, ainsi elle sera encore plus juste, mais qu’elle soit supprimée, triplement non.
Les familles qui ont eu trois enfants ou plus les ont eu, majoritairement, parce qu’elles le souhaitaient. Mais elles les ont élevés aussi, habillés, nourris, éduqués. Elles se sont, régulièrement, privées de certaines choses, pour des raisons financières ou parce que les enfants étaient là, contrairement à leurs collègues, parents ou amis sans enfants qui, eux disposaient de leurs revenus et de leur temps sans la contrainte d’une progéniture.
Il n’est donc pas juste de les priver, à l’heure de la retraite, de cette reconnaissance consistant en une petite majoration de leur pension. D’autant plus que de nombreux secteurs de l’économie trouvent toutes sortes de solutions pour aider les jeunes retraités à dépenser l’argent que n’est pas indispensable à leur survie, pour inciter les grands-parents à donner quelques billets à leurs petits-enfants, etc…
L’iniquité du système de retraites actuel n’est pas à chercher dans cette majoration de 10 % pour familles nombreuses, qui sert plus à compenser des surcroîts de charges et soucis passé, mais dans nombre d’autres niches des diverses dispositions existantes.
Actuellement, donc, se déroulent des réflexions et discussions à ce sujet. Les uns et les autres, n’ayant pas les mêmes intérêts ni la même conception des choses, qu’ils soient actifs ou retraités, qu’ils soient syndicalistes ou patrons, économistes ou politiques, etc.. n’ont donc pas des points de vue ni des solutions identiques.
Certains veulent repousser l’âge de la retraite, d’autres allonger la durée de cotisation, deux voies distinctes qui, au final, rejoignent deux points d’arrivée pas si éloignés l’un de l’autre.
Les augmentations de cotisation, salariales et/ou patronales ont été évoquées aussi.
Les régimes spéciaux, le régime des fonctionnaires font l’objet d’âpres batailles mais là ceux qui en bénéficient ne veulent concéder le moindre petit pas vers un alignement sur les autres régimes, et ceux qui n’en bénéficient pas se refusent à comprendre le pourquoi de la différence et, éventuellement, à la compenser.
Ces jours-ci on parle beaucoup de la majoration de pension de 10 % pour les retraités qui ont élevé au moins trois enfants. Cette majoration, il faut la considérer comme étant un remerciement de la Nation pour les familles qui lui ont donné au moins trois enfants et ont donc contribué à sa permanence et à son rayonnement. Supprimer cette majoration serait un acte qui manquerait totalement de justice et de solidarité. D’autant plus que, à l’heure actuelle, nombre de jeunes retraités sont obligés, par les circonstances, d’aider leurs enfants, voire même de les héberger encore ! Que cette majoration soit soumise à l’impôt, oui, ainsi elle sera encore plus juste, mais qu’elle soit supprimée, triplement non.
Les familles qui ont eu trois enfants ou plus les ont eu, majoritairement, parce qu’elles le souhaitaient. Mais elles les ont élevés aussi, habillés, nourris, éduqués. Elles se sont, régulièrement, privées de certaines choses, pour des raisons financières ou parce que les enfants étaient là, contrairement à leurs collègues, parents ou amis sans enfants qui, eux disposaient de leurs revenus et de leur temps sans la contrainte d’une progéniture.
Il n’est donc pas juste de les priver, à l’heure de la retraite, de cette reconnaissance consistant en une petite majoration de leur pension. D’autant plus que de nombreux secteurs de l’économie trouvent toutes sortes de solutions pour aider les jeunes retraités à dépenser l’argent que n’est pas indispensable à leur survie, pour inciter les grands-parents à donner quelques billets à leurs petits-enfants, etc…
L’iniquité du système de retraites actuel n’est pas à chercher dans cette majoration de 10 % pour familles nombreuses, qui sert plus à compenser des surcroîts de charges et soucis passé, mais dans nombre d’autres niches des diverses dispositions existantes.
jeudi 4 juillet 2013
Voler n’est pas voler, mais ce peut être de l’abus.
Carla BRUNI SARKOZY a fait un aller-retour Paris New-York sur un vol Air France sans bourse délier, pas même au niveau des taxes d’aéroport.
C’est un vol gratuit pour elle, mais ce n’est pas un vol, puisque les voyages gratuits sont des privilèges accordés à un nombre trop important de personnalités, et que la compagnie aérienne a pris à sa charge les taxes afférentes.
Ces privilèges accordés notamment à nos anciens dirigeants (bureaux, voitures, chauffeurs, gardes du corps, etc…) pouvaient se comprendre lorsque ces fonctions étaient quasi bénévoles, que les intéressés se retrouvaient sans grandes ressources à l’issue de leur mandat, et qu’ils avaient, de plus, une espérance de vie plus réduite que de nos jours.
Mais la situation a changé.
Nos anciens présidents de la République, premiers ministres et autres privilégiés sont de plus en plus nombreux, de plus en plus jeunes, et profitent largement de l’aura laissée par leurs mandats passés pour donner des conférences largement rétribuées, pour monnayer leur carnet d’adresses ou leur prestige supposé dans de grandes sociétés privées moyennant finance, et ces privilèges ne se justifient plus.
De la même façon, la situation politique ne justifie plus que, systématiquement, ces personnes mobilisent des gardes du corps qui se muent, au fil des ans, en assistants ou garde-malades.
La situation économique et les nombreux sacrifices demandés à tous nos concitoyens rendent ces privilèges incompréhensibles et même injustes.
Comme il serait logique de mettre fin à l’appartenance à vie au Conseil Constitutionnel des anciens présidents de la République qui, bientôt, pourraient être plus nombreux que les juges nommés par le président de la République et ceux des assemblées, il serait bien venu que François HOLLANDE mette fin à ces privilèges d’un autre temps pour lui-même, son premier ministre, les ministres, présidents des Assemblées et leurs successeurs, et que les actuels bénéficiaires demandent à ne plus en profiter.
On peut toujours rêver….
P.S. Lorsque Nicolas SARKOZY part aux Etats Unis ou ailleurs donner une conférence surpayée, voyage-t-il gratuitement ?
C’est un vol gratuit pour elle, mais ce n’est pas un vol, puisque les voyages gratuits sont des privilèges accordés à un nombre trop important de personnalités, et que la compagnie aérienne a pris à sa charge les taxes afférentes.
Ces privilèges accordés notamment à nos anciens dirigeants (bureaux, voitures, chauffeurs, gardes du corps, etc…) pouvaient se comprendre lorsque ces fonctions étaient quasi bénévoles, que les intéressés se retrouvaient sans grandes ressources à l’issue de leur mandat, et qu’ils avaient, de plus, une espérance de vie plus réduite que de nos jours.
Mais la situation a changé.
Nos anciens présidents de la République, premiers ministres et autres privilégiés sont de plus en plus nombreux, de plus en plus jeunes, et profitent largement de l’aura laissée par leurs mandats passés pour donner des conférences largement rétribuées, pour monnayer leur carnet d’adresses ou leur prestige supposé dans de grandes sociétés privées moyennant finance, et ces privilèges ne se justifient plus.
De la même façon, la situation politique ne justifie plus que, systématiquement, ces personnes mobilisent des gardes du corps qui se muent, au fil des ans, en assistants ou garde-malades.
La situation économique et les nombreux sacrifices demandés à tous nos concitoyens rendent ces privilèges incompréhensibles et même injustes.
Comme il serait logique de mettre fin à l’appartenance à vie au Conseil Constitutionnel des anciens présidents de la République qui, bientôt, pourraient être plus nombreux que les juges nommés par le président de la République et ceux des assemblées, il serait bien venu que François HOLLANDE mette fin à ces privilèges d’un autre temps pour lui-même, son premier ministre, les ministres, présidents des Assemblées et leurs successeurs, et que les actuels bénéficiaires demandent à ne plus en profiter.
On peut toujours rêver….
P.S. Lorsque Nicolas SARKOZY part aux Etats Unis ou ailleurs donner une conférence surpayée, voyage-t-il gratuitement ?
Inscription à :
Articles (Atom)